[Event] Ton Pouvoir n'est plus le tien...

Citation :: "Alors que le repas cuisait lentement, un ombre se faufila dans les cuisines. Elle regarda à gauche, à droite, personne en vue. D'une poche de sa longue veste blanche de Scientifique, l'intru sorti un petit flacon dont il versa le contenu à l'intérieur de la casserole. Avant de repartir, il laissa échapper un petit rire, se demandant quel effet aurait cette potion sur les résidant de l'internat...

Et le lendemain matin, tu te réveilla assez tôt. Il n'y avait pourtant pas cours ce jour-là...
Mais lorsque tu essaya de te lever, un vertige s'emparra de ton corps. Il y avait quelque chose d'anormal, tu en étais certain.
Oui, ça venait du fond de ton âme, de ton pouvoir. Ce n'est pas comme si tu l'utilisais tous les jours - on essayait plutôt de le garder secret - mais tu savais qu'il n'était pas comme d'habitude. Et un essais suffit à le confirmer. Tu te concentras et... Tu le savais. Ce pouvoir...

Ce n'était pas le tien.

Mais alors, tu as échangé ton pouvoir avec un autre ? Lequel as-tu ? Et plus important encore : qui a le tien ?"

13 :00 de l’après-midi on pourrait dire que c’est normal puisque c’était un jour de congé et que j’aime beaucoup faire les grasses matinées… Mais, on général j’ai jamais l’impression d’être bourré quand je me réveille…. J’étais totalement étourdi, je me relève en étant assis sur mon lit, d’une main je tenais ma tête qui semblais si lourd. Et l’autre main qui tenait mon reste du poids. Je ne comprenais pas, je voyais flou pendant quelque minute, j’ai du presque me secouer pour reprendre un peu l’esprit. J’ai bu une bonne gorgé d’eau. Je garde toujours une bouteille d’eau dans ma chambre, ce qui donne souvent l’envie d’aller au petit coin. Mais on s’y fait. Quand je tourne la tête à regardait où j’étais, j’étais rassuré de me savoir belle et bien dans ma chambre avec Yukio donc bien à l’internat. Pourtant j’entendis des drôles de bruit.

J’aurais cru entendre Yukio me parlait. Mais, après tout je viens de me réveiller, j’étais allez à la salle de bain pour me nettoyait et être clean. Quand j’irais draguer. Mais, les bruits se poursuivent.

« S’ayez je suis fou à lier » Je me disais tout en me tirant la joue, puis en me frottant les yeux encore une fois..

Je me suis lavé le visage, Pour me réveiller c’est ce qui fût presque ça. J’entre dans la chambre j’entends encore certain bruit ou rêve ?
J’entendais vraiment la voix de mon compagnon de chambre je ne voulu y croire.
J’ai eu tellement peur que je lui saute presque dessus pour le réveille et l’expliquer dans ma situation.

« YUKIO RÉVEILLES-TOI, YUKIO !!! »

J’étais désespéré et je ne voulais pas entendre toute ces conneries !

J'ignorais qu'elle heure il était. En réalité, je n'avais pas envie d'ouvrir les yeux. Je me sentais complètement épuisé. Habituellement, je me levais de bonne heure — contrairement à mon camarade de chambre — mais aujourd'hui, c'était différent. C'était comme si j'étais submergé par une force indomptable... Je ne parvenais pas vraiment à comprendre ce que je ressentais... Soudain, j'entendis du bruit à côté de moi. Rikuro ? Il devait vraiment être tard si cette marmotte était déjà levée. Qui plus est un jour de congé. Finalement, il quitta la pièce, sans doute pour se laver le visage. Quelques minutes plus tard, il revint. Devais-je me lever ? Oh, j'étais bien mieux là où j'étais... J'allais attendre encore... Encore un tout petit peu. La journée semblait étrange... Cette fatigue horrible qui paraissait s'être emparée de moi, tout d'abord. Mais aussi Rikuro. J'entendais sa respiration rapide, je percevais ses tremblements. Il avait l'air terrifié, en quelque sorte. Quant à moi, je sentais toute la surface de ma peau me picoter. C'était désagréable et, pire encore, cela semblait s'intensifier. Bientôt, cela ressembla à des pincements. Bien sûr, lorsque vous imaginez ça, cela ne semble pas bien terrible. Mais imaginez un peu la douleur que l'on ressent lorsque toutes les parties de notre corps sont pincées, encore et encore. Sans pouvoir vraiment me lever, je serrai les dents. Ca faisait vraiment mal à force. Même l'intérieur de mon corps sembleit à présent souffrir ainsi. Quand cela pourrait-il enfin prendre fin... ?

— YUKIO, RÉVEILLES-TOI, YUKIO !!!

Mon coeur rata un battement et mes yeux s'ouvrirent brusquement. Juste en face de moi, se tenait un jeuen homme aux cheveux sombres. Rikuro Sakurada. Mon camarade de chambre. Il semblait en effet terrifié... En taemps normal, je me serait senti très en colère après lui. Mais il m'avait sorti de ma torpeur et mon corps semblait de plus piquer. Le sommeil ne me faisait jamais peur d'habitude... J'étais son maître... Mais aujourd'hui, j'avais eu peur. Je poussai doucement Rikuro pour lui faire comprendtre que j'avais besoin d'espace et m'assit.

— Qu'y a-t-il ?

J'avais demandé cela d'un ton sec. Je voulais une réponse précise. Un instant, je me demandai ce qu'il se passait ailleurs dans l'école.

J'avais fait tomber ma couverture mais ça ne suffisait toujours pas : J'avais chaud, trop chaud ! Je ne comprenais pas et ça devenait insupportable, il fallait que je prenne une douche gelé ... Je posais mes deux pieds au sol et à peine eus-je fait un pas qu'un vertige me pris, je me rallongeais sur mon lit et essaya de comprendre malgré que j'eus trop chaud . Quelque' chose avait changer mais quoi ? Bon le temps n'était pas à réfléchir il me faut une douche et tout de suite.

La salle de bain était déserte, normal il n'y avait pas cours donc tout le monde profitaient de cette journée pour faire se qu'ils veulent, ma serviette et mon shampooing en main, je pus prendre une douche froide tranquille sans que personne ne vienne dans la salle de bain .

J'avais encore un peu chaud mais moins, alors je pris l'initiative d'aller me balader de toute façon je suis seule dans ma chambre donc pas besoin de prévenir une quelconque colocataire que je pars : et heureusement j'aime pas avoir des comptes à rendre à quelqu'un ! Je pliais ma couette et décidais d'ouvrir la fenêtre, je ne voulais plus avoir aussi chaud que cette nuit, cette sensation n'était pas agréable du tout et en aucun cas je veux réprouver cela !

Les couloirs étaient désert, comme les douches, alors je cherchais un endroit pour m'assoir tranquillement : n'importe où car pour une fois qu'il n'y a personne et que je suis levé très tôt . Je pris place sur un banc en attendant que la cantine ouvre, de toute façon je n'avais que ça à faire . Je regardais les environ j'étais vraiment seule : ça me faisait drôle d'habitude tout le monde passe devant moi sans me remarquer et j'écoute les ragots qui se disent comme une trainée de poussière. Le principale sujet de tout le monte sont les manipulateurs... Je n'ai jamais vu leur batiment, mais pour aller dedant se serait impenssable ou innimaginable pour une creatrice. Pendant que je pensais je ne remarquais pas le son des pas d'un personne et ce n'est que quand il fut en fasse de moi que je relevais la tête pour identifier la personne poster en face !